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Génie naturel ! Génie humain ?

Rencontres autour de Gilles Clément

Cycle L'Homme & la Nature

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Présentation

Rencontres autour de Gilles Clément paysagiste-jardinier et écrivain

La Fondation Royaumont (Goüin-Lang) pour le progrès des sciences de l’Homme propose des rencontres entre praticiens du paysage et penseurs en sciences humaines en créant le cycle L’Homme & la Nature.

Pour cette première édition, Génie naturel ! Génie humain ?, le paysagiste-jardinier-écrivain Gilles Clément sera entouré de personnalités pour tenter de définir ce qui lie l’humain à son milieu, comment il l’habite, le façonne et interagit avec la nature au-delà de son territoire.

Programme vendredi 29 juinProgramme samedi 30 juinEt aussi…Note d’intentionGilles ClémentBiographies des intertenants – Informations pratiques

 

À noter :

  • il n’est plus possible de réserver pour les tables rondes du vendredi 29
  • il reste des places pour celles du samedi 30
  • les tables rondes notées * font l’objet d’une diffusion en direct sur Facebook

Vendredi 29 juin
Habiter et façonner le territoire – Tables rondes animées par Ruth Stegassy

10h00 L’habitat d’hier et celui de demain
Gilles Clément ; Eric Bernard architecte Grand Paris ; Constantin Petcou architecte AAA
Tout comme les cisterciens utilisaient les ressources locales pour construire leurs abbayes, Gilles Clément a construit sa maison avec les pierres présentes dans le terrain de la Vallée. Et si, après quelques décennies de béton et de parpaings, nos constructions modernes réemployaient des matériaux « anciens » comme la pierre et le bois ?

11h30 Quel rapport l’humain entretient-il avec son habitat ?
Gilles Clément ; Adrien Pichon psychanalyste ; Christophe Tardivon, Camille occupants témoins de la ZAD Notre-Dame-des-Landes
À la manière des moines à l’époque médiévale ou de Gilles Clément et ses amis en Creuse, les habitants de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes formant une communauté, pourtant non issus de ce terroir, ont créé de toutes pièces un nouveau territoire. Comment s’établit-on quelque part ? Quel lien créons-nous avec notre habitat ? Que signifie ce besoin d’ancrage ?

12h30 Déjeuner

14h00 * La Vallée de la Creuse, des impressionnistes aux paysagistes
Gilles Clément ; Philippe Wanty paysagiste, propriétaire de l’Arboretum de la Sedelle ; Christian Allaert paysagiste, propriétaire des Jardins Clos du Préfons. Animé par Laurence Fidry chef de projet Vallée des peintres, entre Berry et Limousin
Est-ce par un besoin d’isolement comme les cisterciens que Gilles Clément est allé s’installer dans la Creuse ? Est-ce un appel du paysage qui y a attiré ses amis, comme à l’époque des impressionnistes ? De quelle quête s’agit-il ?

15h30 * Royaumont, ou comment les cisterciens façonnent un territoire
Etienne Grésillon enseignant-chercheur en géographie, Maître de conférences à l’université Paris Diderot (Paris 7), Chercheur au Ladyss ; Sylvain Hilaire responsable du Centre de Ressources et d’Interprétation du Musée national de Port-Royal des Champs ; Marc Viré archéologue
Quels rapports entretenaient les hommes avec la nature sous l’angle du christianisme et en particulier du mouvement cistercien ? Comment les cisterciens redessinaient-ils le chemin de l’eau ou utilisaient-ils les forêts pour leurs constructions ? Comment l’espace était-il utilisé pour assurer isolement et subsistance ?

17h00 Présentation de la contribution plastique de Marjorie Méa

et ventes de livres et dédicaces de Gilles Clément près de la Grande serre du Potager-Jardin

18h00 Fenêtre sur cour[s] La Grande Volière, concert dans le parc
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Samedi 30 juin
Par-delà le territoire – Tables rondes animées par Ruth Stegassy

5h50 Promenade au lever du soleil à la découverte des oiseaux de Royaumont
Lionel Garcin saxophoniste ; Marc Namblard audio-naturaliste

10h00 L’Anthropocène ou comment la Terre est devenue Jardin Planétaire
Gilles Clément ; Thierry Gaudin ingénieur, docteur en Sciences de l’information et de la communication ; Rémi Beau docteur en philosophie et chargé d’enseignement à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Parfois géopolitique, parfois paysager, parfois culturel, le « territoire » peut avoir plusieurs définitions. Il peut aussi être déterminé en fonction des ressources nécessaires aux hommes qui s’y installent. Avec la mondialisation, le développement de l’activité humaine et la finitude écologique, la Terre entière est devenue aujourd’hui le jardin de l’humain ou jardin planétaire. Au point que l’influence humaine représente une « force géologique » majeure : l’anthropocène.

11h30 * Symbioses, l’humain et son milieu
Hervé Coves ingénieur agronome ; Marc André Selosse biologiste professeur au Muséum d’Histoire Naturelle ; Mohammed Taleb philosophe
Si la planète est son jardin, l’humain ne vit pas seul et doit interagir avec le Génie Naturel, le « non humain ». Quelles sont nos connaissances actuelles de ces colocataires visibles et non visibles ? Quelles représentations culturelles, spirituelles et psychologiques, l’humain se fait-il de son milieu ?

12h30 Déjeuner

14h00 Ces paysages que les cultures locales transforment à but nourricier
Nicole Pignier sémioticienne et professeur des Universités à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université de Limoges ; Geneviève Michon ethnobotaniste et directrice de recherche à l’Institut de recherche pour le Développement
L’homme façonne son milieu pour subvenir à ses besoins, le premier étant de se nourrir. Si nous sommes aujourd’hui familiers avec le découpage de notre paysage en patûres, bois et parcelles que notre système agricole a dessiné, nous connaissons moins d’autres façons de « concevoir » le paysage que ce soit par d’autres cultures ou par d’autres techniques.

15h30 * Influences des concepts et des pratiques de Gilles Clément
Gilles Clément ; Bruno Moulia biomécanicien , directeur de recherche à l’INRA ; Marius Magne-Maurin jardinier de l’école du Jardin Planétaire ; Massimo Amato historien de l’économie
Le Jardin Planétaire, le Jardin en Mouvement, le Tiers-Paysage… ces concepts qu’a développés Gilles Clément vont au-delà des clôtures de jardin, des limites de territoire ou des horizons de paysages. Ces idées font aussi référence à des notions bien plus globales. Comment ont et vont-elles continuer à influencer notre vision de la société ?


Et aussi… expositions tout le week-end

Marjorie Méa, plasticienne de la Vallée des peintres

Du 29 juin au 26 août. Grande serre du Potager-Jardin de l’abbaye.
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Exposition de Yann Monel, photographe

Des photographies du Jardin de la Vallée de Gilles Clément (Creuse), seront exposées dans la Salle des charpentes les 29 et 30 juin.


Note d’intention

Le Génie des lieux, ou l’esprit des lieux (le Tayori japonais), vient de la configuration du site, son exposition aux vents et à la lumière, son orientation. Parmi les différentes offres d’excavations géantes du relief karstique des gorges de l’Ardèche, les contemporains de la Grotte Chauvet ont choisi le lieu à partir duquel on perçoit le Pont d’Arc dans toute sa splendeur au-dessus de la rivière. Ils ont choisi le génie des lieux. Celui-ci n’existe pas sans la perception sensible de l’interprète des lieux.

Le Génie humain s’exerce par une activation de l’imaginaire dont les élans de créativité conduisent aux prouesses de la pensée, aux exploits de la raison, aux performances technologiques, aux subversions positives de l’art. Le génie humain prend toute sa dimension dans l’exercice du « projet ». Le niveau de conscience du génie des lieux par le génie humain détermine la force et la portée du projet.

Le rapport entre l’Homme et son habitat est ce qui relie ces deux « génies » en faisant apparaître tantôt le désir de fusion, tantôt la volonté de séparation. Ces deux génies fonctionnent ensemble, on ne peut séparer la condition humaine du contexte dans lequel elle trouve son existence.

À cela il faut ajouter un troisième génie : celui du vivant non humain. Le Génie Naturel se tient en marge des deux précédents. Il existe par les conditions mêmes du vivant : nécessaire résistance aux aléas du temps, mise au point des stratégies de résilience au cours de l’évolution.

Nous vivons une époque où l’humanité découvre qu’en appartenant à l’écosystème planétaire elle dépend du Génie Naturel et qu’elle ne peut s’exclure de la nature sans prendre le risque du suicide par ignorance. Elle vient juste d’arriver sur la planète, les plantes et les animaux étaient là avant, ils ont des choses à dire.

Gilles Clément


Gilles Clément

Dès le début des années 70 Gilles Clément conçoit et réalise des jardins pour une clientèle privée en France et à l’étranger. En 1977 il cesse cette activité pour se consacrer à « l’espace public » et fonde l’Atelier Acanthe en 1985. Il s’installe de façon indépendante en tant qu’artiste en 2000 et organise ses prestations en co-traitance avec les ateliers de paysage, en particulier Coloco à Paris.

Le concept de Jardin en Mouvement, né d’une expérimentation dans son propre jardin dans la Creuse trouve une application en espace public pour la première fois dans le Parc André Citroën dès 1986. L’ouvrage portant le même nom paraît en 1991. De nombreux ouvrages suivront (plus d’une vingtaine), certains abordant d’autres concepts importants : Le Jardin planétaire (exposition à la Villette en 1999/2000), Le Tiers-Paysage (2003), traduit en plusieurs langues.

L’exposition itinérante Toujours la vie invente, créée en 2013 à Saint-Benoît du Sault, installée au Centre Culturel de rencontre de Noirlac (2014) puis à l’école d’architecture Paris Val de Seine (2015), à la biennale d’art contemporain de Melle (2015), au centre d’art de Meyrin à Genève (2016), au parc de Trévarez en Bretagne (2017) sera présentée à Lausanne en 2019.

Plusieurs prix consacrent son œuvre dont le « Grand prix du paysage » en 1998.

Le Parc André Citroën (en co-conception), le Domaine du Rayol dans le Var, les Jardins de l’Arche à Nanterre, les Jardin de Valloires dans la Somme, le parc Matisse à Lille, le jardin du Musée du Quai Branly à Paris, le toit de la Base sous-marine de Saint Nazaire (Jardin du Tiers-paysage) font partie des projets les plus connus du public.

Enseignant à l’Ecole Nationale Supérieure de Versailles de 1980 à 2012 il assure, en 2011/12 des cours au Collège de France dans le cadre de la chaire de création artistique et poursuit une activité d’enseignant vacataire sous forme d’ateliers en Italie, en Espagne et en France.


Eric Bernard architecte DPLG
Eric Bernard est initialement tailleur de pierres et est devenu architecte diplômé à 40 ans. Il fait partie de l’équipe lauréate à l’appel à projets « Inventons la Métropole du Grand Paris », projet pour lequel il prévoit d’allier pierre de taille et bois massif sur l’îlot de Bondy-Noue Caillet.

Constantin Petcou architecte et sémioticien
Constantin Petcou est co-fondateur avec Doina Petrescu de l’atelier d’architecture autogérée (aaa) ; une plateforme collective de recherche et d’action autour des mutations urbaines et des pratiques écologiques, sociales et politiques émergentes de la ville contemporaine. Initié en 2001, aaa fonctionne à travers un réseau ouvert à de multiples points de vue : architectes, étudiants, chercheurs, politiques, militants, habitants et tous usagers concernés. À partir de 2008, aaa développe R-Urban, une stratégie de transition écologique citoyenne. Pour son travail, aaa a reçu plusieurs prix nationaux et internationaux.

Adrien Pichon psychanalyste, doctorant CRPPC Centre Didier Anzieu, Lyon 2
Adrien Pichon travaille sur une thèse : Cosmos intime: de la clinique du lien à la clinique du lieu dans l’accompagnement du syndrome de Diogène. Il a contribué à une recherche sur les complications de santé somatiques et psychiques après un retour à domicile pour des personnes ayant connu un long parcours de rue, et il accompagne aujourd’hui à domicile des personnes présentant un syndrome de Diogène.

Christophe Tardivon et Camille sont occupants et témoins à la ZAD Notre Dame des Landes. Depuis plusieurs années, ils participent et observent l’occupation d’un territoire que les habitants créent de toutes pièces grâce à de nouvelles organisations sociétales et des constructions improvisées.

Sylvain Hilaire responsable du Centre de Ressources et d’Interprétation du Musée national de Port-Royal des Champs
Historien moderniste de formation, membre expert du Conseil International des Monuments et des Sites (ICOMOS – Section française), Sylvain Hilaire a soutenu sa thèse de Doctorat d’Histoire en 2017 sur le sujet : Port-Royal des Champs, haut-lieu de mémoire : étude des jardins et des paysages culturels. Il est chercheur associé au laboratoire Pléiade, de l’Université Paris XIII / Sorbonne Paris Cité, et au Centre d’Histoire Culturelle des Sociétés Contemporaines (CHCSC) de l’Université Versailles Saint-Quentin / Paris Saclay.

Etienne Grésillon enseignant-chercheur en géographie, Maître de conférences à l’université Paris Diderot (Paris 7), Chercheur au Ladyss (UMR 7533)
En appréhendant les jardins par une approche géographique, Etienne Grésillon aborde les questions liées à la biodiversité, à la religion et à l’injustice spatiale. Il montre aux travers des jardins que les enjeux écologiques actuels sont autant des questions de société, de spiritualité et de sciences de la vie.

Philippe Wanty paysagiste et propriétaire de l’Arboretum de la Sedelle
Philippe Wanty et sa compagne Nell se sont installés sur le terrain de l’Arboretum de la Sedelle en Creuse au début des années 80. Cet espace d’environ 6 hectares présente aujourd’hui 400 essences différentes et plus de 3 000 plantes provenant des États-Unis au Japon, en passant par l’Asie Mineure, la Hongrie, l’Inde ou le Turkestan…

Christian Allaert jardinier-paysagiste et propriétaire des Jardins clos du Préfons
Christian Allaert s’est installé en Creuse à la fin des années 70 où il a aménagé les Jardins clos du Préfons, un endroit de 4 000m², offrant des espaces structurés comme des friches organisées. Maître conférencier, il organise aussi des voyages culturels où il guide les visiteurs dans les jardins du monde entier.

Thierry Gaudin ingénieur, docteur en Sciences de l’information et de la communication
Thierry Gaudin est un expert international (OCDE, Commission Européenne, Banque Mondiale) en politique d’innovation d’une part et en prospective d’autre part. Il a fondé Prospective 2100, association internationale ayant pour objectif de préparer des programmes planétaires pour le XXIe siècle.

Rémi Beau docteur en philosophie et chargé d’enseignement à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Spécialiste des éthiques et de la philosophie environnementales, Rémi Beau s’intéresse tout particulièrement aux relations que nous entretenons avec la nature proche, nature avec laquelle nous vivons et interagissons au quotidien. Il a publié en 2017 un ouvrage intitulé Éthique de la nature ordinaire. Recherches philosophiques dans les champs, les friches et les jardins aux Publications de la Sorbonne et vient de co-diriger avec Catherine Larrère Penser l’Anthropocène aux Presses de Sciences Po.

Marc-André Selosse professeur au Muséum national d’Histoire Naturelle et à l’Université de Gdansk (Pologne)
Marc-André Selosse est biologiste et mycologue. Ses recherches sont centrées sur l’interaction mycorhizienne, une symbiose entre les racines de plus de 90 % des plantes et des champignons du sol. Il est notamment l’auteur de Jamais seul : ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations publié en 2017 par Acte Sud.

Hervé Coves ingénieur agronome
Hervé Coves est ingénieur, formateur en permaculture et frère Franciscain. Il se passionne pour les êtres vivants, bactéries, plantes, champignons et animaux ainsi que les relations qui les unissent. Il fut responsable d’un service de recherches en agronomie en Corrèze, il a dirigé notamment la truffière expérimentale de Chartrier-Ferrière.

Mohammed Taleb philosophe
Mohammed Taleb est formateur et enseignant en Education relative à l’environnement et en écopsychologie. Il préside l’association Le singulier universel qui se consacre à la rencontre écologie, critique sociale et spiritualité. Il anime des formations sur ces thèmes à Lausanne, Bruxelles et Lyon.Il est l’auteur notamment de L’écologie vue du sud (Sang de la Terre) et de Eloge de l’Âme du monde (Dervy).

Nicole Pignier sémioticienne et professeur des Universités à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université de Limoges
Nicole Pignier est membre de l’Université Européenne des Métiers, des Arts et du Paysage, elle dirige une cellule de recherches interdisciplinaires « Cultures Locales et milieux paysagers » au sein de l’École du Jardin Planétaire de Nouvelle Aquitaine. Membre du Centre de Recherches Sémiotiques, elle est aussi responsable d’une formation universitaire professionnelle sur le design des milieux anthropisés. Son dernier ouvrage s’intitule Le Design et le Vivant. Cultures, agricultures et milieux paysagers.

Geneviève Michon ethnobotaniste et directrice de recherche à l’Institut de recherche pour le Développement
Geneviève Michon est spécialiste des relations entre sociétés et forêts. Elle s’intéresse à la façon dont les sociétés construisent leur rapport à la forêt, au croisement entre pratiques des usagers (dont les agriculteurs) et politiques de l’environnement. Elle s’est aussi attachée à analyser les processus de domestication de la forêt, entre savoirs locaux et écologie politique, ainsi que la patrimonialisation de la nature.

Bruno Moulia biomécanicien, directeur de recherche à l’INRA , Clermont Ferrand
Bruno Moulia a participé à plusieurs études prouvant les capacités de perception des plantes qui ont notamment permis de comprendre que les plantes sont capables de percevoir leur propre forme et d’adapter leur croissance et leurs mouvements en fonction.

Massimo Amato historien de l’économie
Massimo Amato enseigne l’histoire économique et l’histoire de la pensée économique à l’université Bocconi de Milan. Depuis longtemps, il travaille à la construction des conditions théoriques et politiques pour une réforme de la monnaie et pour un changement de notre rapport à l’argent.

Marius Magne-Maurin jardinier
Marius Magne-Maurin est apprenant à l’Ecole du Jardin Planétaire et sera l’un des premiers diplômés de la licence Professionnelle Design des Milieux anthropisés à l’Université européenne des métiers des arts et du paysage. Cette formation est encadrée par une charte élaborée par Gilles Clément et servira à la diffusion de ses théories.

Tables rondes animées par :

Ruth Stégassy journaliste
Ruth Stegassy a été l’animatrice de 2001 à 2016 de l’émission Terre à terre, magazine de l’environnement diffusé sur France Culture. Très active dans le domaine de l’écologie, elle a participé aux « Entretiens de la Biodiversité 2008 » présidés par Jean-Marie Pelt. Elle a depuis décidé de se lancer dans un projet de production de céréales anciennes.

Laurence Fidry chef de projet Vallée des peintres, entre Berry et Limousin
Du Musée Grévin aux festivals en Limousin, de Radio France à France Télévision, sa nature multifacette conjugue énergies et stratégies au service des hommes et des territoires.
Aujourd’hui, elle contribue à la reconnaissance du foyer culturel de la Vallée des Peintres entre Berry et Limousin dont la démarche est pilotée par le Conseil Départemental de la Creuse.


Ces rencontres sont conçues par un comité de pilotage constitué de :
Michel Jourdheuil chargé de mission parcs et jardins pour le Val d’Oise ; Vincent Lahache paysagiste DPLG ; Yann Monel, photographe ; Monique Mosser historienne de l’art, de l’architecture et des jardins ; Astrid Verspieren paysagiste 
et, pour la Fondation Royaumont, Frank Magloire directeur général adjoint ; Justine Marin chef jardinière-maraîchère.

Elles sont organisées en collaboration avec le département de la Creuse pour la Vallée des Peintres.

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