« Créer le chemin en marchant » Francisco Varela
Période
Du 15 juillet au 3 août 2025
Présentation
Placé sous la direction pédagogique du chorégraphe Alban Richard, la formation 2025 du Pôle Création Chorégraphique propose à seize chorégraphes, compositeurs – compositrices, artistes du champ de la performance, de toutes nationalités et générations confondues de participer à trois semaines de formation continue à Royaumont.
Dans le cadre du nouveau Campus Royaumont, véritable université d’été expérimentale, le Laboratoire – chorégraphique#4 propose de plonger l’ensemble des participant.e.s dans des temps de pratiques et de questionnements, de confrontations d’idées et de présences, afin d’aborder les grands enjeux de l’interdisciplinarité. Les participants pourront s’appuyer sur la présence de jeunes artistes participant aux sessions lyriques du campus.
L’orientation pédagogique sera fondée sur la pratique et la mise en avant du travail à travers une dynamique collective.
L’enseignement sera multidisciplinaire mais aura toujours en son cœur le corps dansant.
Ces 18 journées réuniront des intervenants d’horizons variés : artistes, philosophe, poète, historienne, musiciens, compositeur.ice.s…
Nous vous proposerons :
- De participer à des ateliers pour expérimenter et éprouver
- D’assister à des lectures-communications pour apprendre
- De prendre part à des tables rondes pour échanger et confronter nos points de vue
- De contribuer à la programmation et à l’activation de soirées de performances situées
Cette formation continue conçue sous la forme d’un laboratoire d’une durée de 3 semaines à destination de seize chorégraphes, compositeurs – compositrices, artistes du champ de la performance, souhaitant interroger et nourrir leurs parcours d’artistes en dehors des temps standard de la formation et de la production.
Encadrement
Alban Richard découvre la danse contemporaine en parallèle de ses études littéraires et musicales. Dès la fin des années 1990, il travaille pour différents chorégraphes tels qu’Odile Duboc, Olga de Soto ou Rosalind Crisp…
En 2000, Alban Richard fonde l’ensemble l’Abrupt pour lequel il crée une trentaine de pièces très différentes, toujours en rapport étroit avec une œuvre musicale dont il questionne l’écriture et la structure formelle. Ainsi, chaque création ouvre une nouvelle recherche, une nouvelle gestuelle, se démarquant de la précédente. La façon dont il élabore ses spectacles, dans une écriture au plateau nourrie d’improvisations contraintes, incite les interprètes à devenir créateurs de leur propre danse.
Alban Richard a collaboré avec l’ensemble Alla francesca, Les Talens Lyriques, L’Achéron, les Percussions de Strasbourg, l’Ensemble Intercontemporain, l’IRCAM et les ensembles Cairn, Instant Donné et Alternance, ainsi que les compositeurs Arnaud Rebotini, Sebastian Rivas, Erwan Keravec, Jérôme Combier, Laurent Perrier, Raphaël Cendo, Robin Leduc, Paul Clift, Wen Liu, Matthew Barnson…
Chorégraphe prolixe, Alban Richard est régulièrement invité par des ballets et des compagnies, tant à l’international (Canada, Lituanie, République Tchèque, Norvège) qu’en France, à créer des œuvres de commande.
Depuis 2015 il dirige le centre chorégraphique national de Caen en Normandie, avec un projet fondé à la fois sur une démarche d’auteur et un travail en lien avec le territoire et ses habitants.
ccncn.eu
Producteur de l’émission Le Cri du Patchwork sur France Musique de 2014 à 2019, le parcours de Clément Lebrun mêle médiation, musicologie, pédagogie et pratique de musiques sans frontières. Formé à la Sorbonne et au CNSM de Paris, il enseigne actuellement la médiation (Université de Paris III-Sorbonne Nouvelle ; CNSM de Paris). En tant que musicien, Clément Lebrun co-dirige l’OMEDOC, ensemble de musiques expérimentales, pour promouvoir la création sous toutes ses formes. Nourri tout autant par le free-jazz, le ska-punk, le chant grégorien, la musique de la Renaissance et la musique contemporaine, ses activités de médiateur l’ont amené à travailler avec des chefs d’orchestre tels que Christophe Rousset, Daniele Gatti, Matthias Pintscher ou encore Emilio Pomarico au sein d’institutions tels que l’Ensemble Intercontemporain, les Talens Lyriques, l’Orchestre National de France, l’Orchestre National Bordeaux-Aquitaine, l’Orchestre de Paris, le Théâtre de Caen, l’Auditorium du Louvre et la Philharmonie de Paris. Il est également le concepteur du Kit – Musique en Jeu(x) de l’ODIA Normandie, outil pédagogique de pratique des musiques de création. Depuis septembre 2023, Clément Lebrun est artiste associé du TAP, scène nationale de Poitiers.
Laure Guilbert a mené un double parcours professionnel, comme éditrice, responsable des publications de la danse à l’Opéra national de Paris, et historienne, spécialisée dans les rapports entre danse et politique. Enseignant régulièrement à l’université, elle a également co-fondé l’Association des Chercheurs en Danse (aCD) et sa revue numérique, Recherches en Danse. Actuellement chercheuse indépendante, elle se consacre à des travaux au long cours sur l’exil et la déportation de l’avant-garde chorégraphique d’Europe centrale dans les années 1930 et 1940. Soutenue par la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, elle est en 2023 chercheuse invitée à l’Institut Max Planck de Berlin.
Elle élabore un enseignement théorico-pratique où se croisent l’empirisme artistique et les bases scientifiques de l’apprentissage du mouvement. Son travail, axé sur la perception, l’observation et l’analyse permet d’affiner la qualité des coordinations spécifiques à l’art de la danse. Cette recherche s’appuie sur l’intégration de la motricité enfantine. Pour elle, l’expertise de geste dansé se doit de préserver la santé du danseur, sa cohérence biologique et son intentionnalité artistique. Elle intervient depuis plus de 25 ans dans la formation du DE et du CA et anime de nombreux stages de formation continue. Elle forme une nouvelle génération d’intervenants en AFCMD au CESMD de Poitiers et développe un travail autour de la posture du musicien et des thérapeutes manuels (ostéopathie, kinésithérapie, art thérapie).
Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize travaillent ensemble depuis 2006 et développent une pratique résolument hybride, migrante et éclatée qui mêle sculpture, dessin, photographies, objets ou affiches. Leurs installations ne constituent qu’un temps d’arrêt dans le travail, conçu comme un flux de recherche continu, une perpétuelle remise en jeu des formes et des signes utilisés.
Leur travail a récemment fait l’objet de nombreuses exposition personnelles : au Musée des Beaux-Arts de La-Chaux-de-Fonds et au CRAC 19 à Montbéliard en 2022, au FRAC Normandie en 2020, au grand café de Saint Nazaire en 2017. Une exposition leur sera consacrée au MASC Sables d’Olonne en 2023. Ils ont reçu de nombreuses commandes d’œuvres in situ : à la Fondation Thalie (Bruxelles), au café Mulot de la maison Victor Hugo (Paris) en 2021, et à l’hôtel Drawing House (Paris) en 2022. Leur travail est présent dans des collections publiques telles que le CNAP, Frac Pays de la Loire, Frac Midi Pyrénées, à la Cité de la céramique à Sèvres, au Musée National de Monaco. Ils sont les lauréats du prix solo Journe, décerné par Nicolas Bourriaud, Éric Mangion et Björn Dahlström en juillet 2022.
Marin Fouqué @marinfouque vit et travaille en Seine-Saint-Denis. En 2019, il est l’auteur de 77 (@actessud), un premier roman très remarqué par la critique. En 2021, il sort G.A.V (Actes Sud) , récompensé de nombreux prix, dont le Prix Alain Spiess du meilleur deuxième roman.
« Enfant, je grandis entre bitume et boue, entre silence et vide, dans un petit village de Seine-et-Marne. En 2010, je rentre aux Beaux-Arts de Cergy et y découvre la sculpture, la vidéo et l’installation sonore. En 2015, je présente un parcours de performance lors de mon D.N.S.E.P., que je décroche avec les félicitations du jury. Amoureux de rap et de chanson française, j’écris de la poésie. Je me rends rapidement compte du peu de personnes lisant de la poésie contemporaine. Pour trouver un public, je me mets donc à la dire. Les premières oreilles sont celles que je trouve : dans de la rue, dans les bars et les concerts punk. Pour être honnête, le public n’y est pas forcément réceptif. Pour être encore plus honnête, j’écris trop mal, trop lourd, trop littéraire, pas musical. Petit à petit, j’écoute mes phrases. Mon écriture mute. Il faut que ça sonne. Que ça frappe. Et résonne. »
Elisabeth Taudière est architecte, directrice de Territoires pionniers | Maison de l’architecture – Normandie.
Au sein de Territoires pionniers, elle initie et mène des projets de terrain singuliers : ateliers, résidences, rencontres et événements publics. Elle cherche ainsi à participer activement à la transformationécologique et sociale du territoire, en ouvrant des espaces d’échange et d’expérimentation associant habitants, professionnels, élus et acteurs locaux.
Elle accueille depuis 2010 des architectes en résidence, dont les démarches créatives et collectives situées visent à mieux connaître et comprendre les milieux de vie, à repenser les manières d’habiter pour en prendre soin. En 2021, avec Marin Schaffner, elle publie un recueil de témoignages et retours critiques, Révéler, cultiver, réhabiter. Retour sur une décennie d’architectes en résidence pour fêter les 10 ans du Laboratoire des territoires. Depuis 2017, elle co-pilote le groupe de travail « résidences » au sein du Réseau des Maisons de l’architecture.
Depuis sa création en 2019, elle assure la direction de « Chantiers communs », rendez-vous culturel porté par Territoires pionniers en Normandie. Pour elle, la mise en œuvre de ce projet crée l’occasion d’associer des acteurs et des publics d’horizons divers autour d’un temps fort mettant en récits le territoire autour de trois grands chantiers : « habiter les milieux », « construire avec le territoire » et « se préparer au changement climatique ».
En 2024, elle est à l’initiative du projet culturel de bassin-versant « Nous sommes Orne » porté par Territoires pionniers avec les CPIE Vallée de l’Orne et Collines Normandes, Le Dôme et le Pavillon.
En développant une recherche sur les sons périphériques, les modes de jeu et d’écoute de son instrument, éloigné de sa culture d’origine, il explore les musiques improvisées, du free jazz à la noise, et constitue un répertoire de musique contemporaine pour cornemuse solo, trio avec voix et avec chœur. Curieux du mouvement, de la relation et des situations propres à la réinvention, il compose, joue et improvise également pour la danse.
Deux musicien.ne.s et un.e philosophe en cours de recrutement
Modalités
Public visé
Chorégraphes ou compositeur.ices ou artiste issu.es du champ de la performance, toutes générations confondues ayant déjà une expérience professionnelle ou préprofessionnelle.
Pré-requis et condition d’accès à la formation
Être chorégraphe ou compositeur.ice ou artiste issu.e du champ de la performance, toutes générations confondues, ayant déjà une expérience professionnelle ou préprofessionnelle.
Les participants s’engagent formellement à suivre l’intégralité du cursus soit 18 jours de formation.
Durée
du 15 juillet au 3 août 2025
3 semaines soit 18 jours soit 126 heures
Tarifs
voir les conditions tarifaires
Candidature
Sélection sur dossier par l’équipe pédagogique
- Le formulaire en ligne
- Un CV
- Un dossier sur vos dernières créations accompagné de liens vidéo, site internet à : campus@royaumont.com
Calendrier
- Date de clôture des candidatures : 24 novembre 2024, minuit
- Sélection sur dossier par l’équipe pédagogique entre le 25 novembre et le 15 décembre 2024.
- Résultat entre le 15 et le 30 janvier 2025.
Tous les programmes de formation de la Fondation Royaumont ont un délai d’accès à minima de 11 jours ouvrés.
Exemple : si la Fondation Royaumont valide la demande d’inscription le 14 juin, elle peut proposer au bénéficiaire une formation qui commence le 29 juin.
Fiche programme
version n°1 du 30/09/2024
Durée de validité de la version n°1 : 1 an renouvelable
Déroulé/contenu de la formation
Semaine 1 | Chorégraphie > Alban Richard (pratique quotidienne, ateliers) Médiation de l’Écoute > Clément Lebrun Musique > Erwan Keravec, analyse et pratique de BLIND Architecture | Elisabeth Taudière, habiter des espaces, créer des projets situés Réunions de programmation Création de deux soirées de performances | Cette semaine est animée par le référent pédagogique et les intervenants de la semaine 1, sous forme d’accompagnement collectif. Nous proposerons de : > de participer à des ateliers pour expérimenter et éprouver. > d’assister à des lectures-communications pour apprendre. > de prendre part à des tables rondes pour échanger et confronter nos points de vue. > de contribuer à la programmation et à l’activation de soirées de performances situées. |
Semaine 2 | Chorégraphie > Alban Richard (pratique quotidienne, ateliers) Analyse fonctionnelle du corps dans le mouvement dansé > Nathalie Schulmann Dessin > Florentine Lamarche-Ovize Philosophie > Cynthia Fleury ou Geoffroy de Lagasnerie Musique > Déborah Lennie Réunions de programmation Création de deux soirées de performances | Cette semaine est animée par le référent pédagogique et les intervenants de la semaine 2, sous forme d’accompagnement collectif. Nous proposerons de : > de participer à des ateliers pour expérimenter et éprouver. > d’assister à des lectures-communications pour apprendre. > de prendre part à des tables rondes pour échanger et confronter nos points de vue. > de contribuer à la programmation et à l’activation de soirées de performances situées. |
Semaine 3 | Chorégraphie : Alban Richard (pratique quotidienne, ateliers) Analyse Fonctionnelle du Corps dans le Mouvement Dansé > Nathalie Schulmann Histoire > Laure Guibert Poésie-performance > Marin Fouqué Musique : Réunions de programmation Création de deux soirées de performances Bilan de la formation | Cette semaine est animée par le référent pédagogique et les intervenants de la semaine 3, sous forme d’accompagnement collectif. Nous proposerons de : > de participer à des ateliers pour expérimenter et éprouver. > d’assister à des lectures-communications pour apprendre. > de prendre part à des tables rondes pour échanger et confronter nos points de vue. > de contribuer à la programmation et à l’activation de soirées de performances situées. |
Effectif plancher/plafond
Effectif plancher : 12 chorégraphes, compositeur.ice.s , artistes issu.e.s du champ de la performance
Effectif plafond : 16 chorégraphes, compositeur.ice.s , artistes issu.e.s du champ de la performance
Objectifs pédagogiques
Connaissances
- Avoir une approche critique de l’histoire culturelle de la danse à la charnière du 20ème et du 21ème siècle – transformation des esthétiques et des écritures contemporaines.
- Cultiver le goût de la lecture des œuvres – ouvrir des voies interprétatives reliées à son propre projet.
- Savoir reconnaître et appréhender différents imaginaires et univers de croyances des chorégraphes – sources et courants auxquels ils s’identifient – filiations et ruptures.
Savoir-faire
- Questionner et construire sa propre pratique en danse dans l’expérience d’un répertoire identifié. Quels savoirs sont convoqués ? Quels outils sont nécessaires ?
- Interroger le dialogue chorégraphe / interprète. Entrer dans l’exercice de reconnaissance, de la mise en partage des compétences et de la créativité.
- Conditions pratiques et stratégies de mise en œuvre d’un projet chorégraphique.
Savoir-être
- Être à la fois autonome et responsable dans son travail. Curieux et généreux envers l’autre pour s’engager dans un projet collectif.
- Trouver sa place au sein d’un collectif et avoir la capacité d’ouvrir un dialogue collaboratif et créatif avec l’ensemble du groupe de travail.
- Partager son expérience dans la mise en œuvre du projet et s’engager dans sa médiation.
- Notre capacité d’adaptation nécessite, pour comprendre ce qui est en jeu entre soi, les autres et le monde, que chacune et chacun d’entre nous puisse identifier non seulement son environnement mais aussi les éléments qui fondent son individualité.
- Nos croyances intimes, les contextes familiaux ou professionnels, nos horizons d’attente sont autant de filtres qui nous imposent nos limites et nous éloignent de nos potentialités. Comment créer les bonnes conditions de notre environnement d’un point de vue individuel, social, émotionnel ? Comment nous défaire de nos identifications, de nos peurs ?
- Pouvons-nous nous constituer en tant qu’individu capable d’agir sur et travailler nos capacités d’adaptions et de choix, quel que soit notre âge, notre expérience, nos expertises ? Questions d’autant plus prégnantes en tant qu’artiste…
Compétences visées / objectifs opérationnels
A l’issue de la formation le bénéficiaire sera capable de :
- Questionner sa propre pratique d’écriture
- Imaginer de nouveaux modes de relations et de dialogues avec l’ensemble des collaborateur.ice.s lorsque l’on construit un projet.
- S’interroger sur les savoirs convoqués et les outils nécessaires pour composer un projet chorégraphique en lien avec d’autres arts.
- Comprendre les conditions pratiques et stratégiques nécessaires à la mise en œuvre d’un projet chorégraphique en lien avec d’autres arts
- Penser les lieux et les modes de rencontres avec le public.
Méthodes mobilisées
- Cours de groupe théoriques et pratiques donnés par les intervenants chorégraphes.
- Répétitions et temps de recherche des bénéficiaires sans les encadrants pour renforcer l’autonomie dans le travail
- Rencontres avec le directeur artistique pour échanger sur le parcours professionnel du stagiaire
Ces 18 journées de partage réuniront des invité.e.s d’horizons variés : musicien.ne.s , architecte, philosophe, poète, historienne, artiste plasticien…
Nous proposerons :
- De participer à des ateliers pour expérimenter et éprouver
- D’assister à des lectures-communications pour apprendre
- De prendre part à des tables rondes pour échanger et confronter nos points de vue
- De contribuer à la programmation et à l’activation de soirées de performances situées
Modalités de suivi et d’évaluation
Pendant la formation en présentiel
- Évaluation par le travail pratique du bénéficiaire, de sa réactivité et son aptitude à intégrer les propositions faites par l’intervenant.
- Retour d’expérience à la suite des présentation publiques/performances
Les bénéficiaires signent une feuille d’émargement par demi-journée.
En fin de formation
Une attestation de fin de stage mentionnant les objectifs, la nature et la durée de l’action et les résultats de l’évaluation des acquis de la formation est remise au stagiaire ainsi que le certificat le cas échéant.
Les spectacles hors cadre de la formation permettent de suivre l’évolution de la carrière de l’artiste et de son ensemble en aval des formations, et notamment d’évaluer la qualité de l’interprétation ainsi que le nombre de spectacles donnés.
Modalités d’évaluation qualitative
Le stagiaire remplit une fiche d’évaluation qualitative afin d’évaluer les acquis de la formation d’un point de vue artistique, pédagogique, humain et matériel.
Un suivi post-formation est établi, pour lequel les stagiaires sont priés d’informer durant les six mois suivants la fin de la formation des contrats qu’ils auront obtenus.
Accessibilité et prise en compte des situations de handicap
La Fondation Royaumont fait de l’accueil et de la participation des personnes en situation de handicap un engagement fort de son projet. Nos formations sont ouvertes aux personnes en situation de handicap et différents aménagements peuvent être envisagés en fonction des spécificités de chaque formation. Afin d’échanger sur vos besoins, contactez-nous au moment de votre inscription ou veuillez-contacter les référents handicaps.
Contacts
Référent pédagogique
Alban Richard, directeur pédagogique sur la Formation Campus#2025
alban.richard@ccncn.eu
Référente administrative
Doriane Trouboul, administratrice du pôle Création chorégraphique
d.trouboul@royaumont.com
